22 avr. 2011

Une même maladie, un autre Lucas, un même combat

http://www.lapressedevesoul.com/actualite/Dix-marathons-pour-penser-a-Lucas-et-aux-enfants-malades-1485.html
Six mois après le décès de son fils de 10 ans, Jérôme Tournu allie son amour du sport au soutien des jeunes en souffrance et de leurs familles
Atteint d'une tumeur cérébrale, Lucas est décédé le 23 octobre 2010, quelques jours avant de fêter ses 11 ans. Son papa, Jérôme Tournu (Belfort), a décidé de courir "une distance importante permettant l'accroche et la transmission d'une information visuelle" et communiquer sur un vécu "pour sensibiliser à un soutien indispensable aux enfants malades".
La troisième course des 10 marathons a guidé cet ancien athlète de haut niveau en boxe anglaise en Haute-Saône. C'était jeudi 21 avril, entre Roye et Port-sur-Saône, avec une pause-casse-croûte à Frotey-lès-Vesoul. Deux autres marathons sont prévus sur le territoire de Haute-Saône : vendredi 22 avril, entre Port-sur-Saône (départ à 9h) et Gy (arrivée à 16h, après un passage à Scey-sur-Saône, Saint-Albin, Traves et Fretigney-et-Velloreille) ; samedi 23 avril, entre Gy (départ à 9h) et Quingey (arrivée à 16h dans le Doubs, avec passage à Marnay, puis dans le Doubs à Saint-Vit et sur la RD 29 et la RD 13).
Le périple de Jérôme Tournu prendra fin le samedi 30 avril, où son arrivée à Beaucourt est prévue à 11h. Chaque ville d'arrivée lui réserve un chaleureux accueil.
Le coureur aura parcouru près de 421 km à la vitesse moyenne de 10 km/h avec trois jours de pause. Il aura traverser cinq départements : Les Vosges, la Haute-Saône, le Doubs, le Jura et le Territoire de Belfort. "Aider un enfant malade, c'est aussi aider ses parents pour qu'ils soient disponibles et près de lui en permanence pour le soutenir, l'aider, le divertir et l'aimer", explique Jérôme Tournu. Son action de communication que Jérôme a choisi de mener baskets aux pieds, avec un baladeur et un sac à dos de 5 kg pour seuls compagnons... et, bien sûr, Lucas et les siens, dans ses pensées, a reçu le soutien de la Ville de Beaucourt où il travaille et de l'entreprise locale Couleur Sport Production.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Un vieux fermier possédait un vieux cheval avec
lequel il labourait ses champs.
Un jour le cheval s'enfuit vers les collines.

Aux voisins qui le prenaient en sympathie,
le vieillard répondit:
" Chance ou malchance, qui peut le dire ? "

Une semaine plus tard, le cheval revint des collines
avec un troupeau de chevaux sauvages,
et les voisins félicitèrent le fermier pour sa bonne chance.

Il répondit encore :
" Chance ou malchance, qui peut le dire ? "

Puis, lorsque son fils, voulant dompter
un des chevaux sauvages, fit une chute et se brisa la jambe,
tout le monde crût que c'était une grande malchance.

Le fermier, lui, se contenta de dire :
" Chance ou malchance, qui peut le dire ? "

Quelque semaines plus tard, l'armée entra dans le village,
et mobilisa tous les jeunes gens valides.
Quand ils aperçurent le fils du fermier avec sa jambe cassée,
ils le dispensèrent du service.

Etait-ce de la chance ? de la malchance ? qui peut le dire ?

Tout ce qui à première vue peut être un mal, peut, en fait,
être un bien déguisé.
Et tout ce qui à première vue semble un bien,
peut en réalité être un mal.

Béa a dit…

Une tendre pensée pour Lucas et pour sa famille en cette date terrible d'anniversaire de son départ.